Skip to main content

Home/ Migrations/ Group items tagged Le Point

Rss Feed Group items tagged

Veille & Documentation

GRETA - 9e rapport général sur les activités du Groupe d'Experts sur la Lutte... - 0 views

  •  
    Le nombre de personnes identifiées en Europe comme étant victimes de la traite des êtres humains a augmenté de près de moitié entre 2015 et 2018, selon le rapport annuel du Groupe d'experts du Conseil de l'Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains (GRETA). D'après les informations fournies par les autorités des 47 pays liés par la Convention anti-traite du Conseil de l'Europe, 15 310 personnes ont été identifiées comme victimes de la traite en 2018, contre 10 598 personnes en 2015. « Les méthodes utilisées pour compter les victimes de la traite varient d'un pays à l'autre, mais les données dont nous disposons font apparaître une augmentation considérable du nombre de personnes identifiées comme victimes de cet horrible crime », a déclaré le président du GRETA, Davor Derenčinović. « Compte tenu du caractère clandestin de la traite et du fait que, comme nous avons pu le constater, le processus d'identification présente des lacunes dans de nombreux pays, le nombre réel de victimes est probablement bien plus élevé. Il est essentiel que les autorités concernées intensifient leurs efforts pour combattre la traite et pour fournir aux victimes le soutien et l'assistance auxquels elles ont droit. » Le rapport publié aujourd'hui fait le point sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l'Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains (STCE n° 197) par les pays concernés, 12 ans après l'entrée en vigueur de la Convention, sur la base des rapports d'évaluation de deuxième cycle établis par le GRETA. Le rapport souligne que les deux plus grandes lacunes, dans la mise en œuvre de la Convention, concernent l'identification des enfants victimes de la traite et les mesures d'assistance fournies à ces enfants. Parmi les problèmes fréquents sont également mentionnés les insuffisances dans les mesures d'assistance aux victimes en général, le fait de ne pas accorder de délai
Veille & Documentation

Destin commun - Synthèse - La France en quête : Réconcilier une nation divisée - 0 views

  •  
    La France n'a jamais semblé aussi divisée qu'aujourd'hui. Des plateaux de télévision aux réseaux sociaux, dans la rue et parfois même dans nos familles, les polémiques s'enchaînent et les désaccords politiques se transforment en détestations. Les Français déplorent que les moments d'unité du pays soient de plus en plus passagers. Sommes-nous devenus irréconciliables ? Experts, politiques, sont nombreux à le croire, mais pas nos concitoyens : ils ont conscience du danger que font courir ces divisions à l'avenir du pays. C'est le constat que nous tirons d'une grande enquête menée tout au long de l'année 2019 avec l'Institut de sondage Kantar, auprès de 6000 personnes. Plus de huit Français sur dix pensent qu'on doit se serrer les coudes et faire face aux problèmes ensemble. Ni l'entre-soi ni le chacun pour soi ne sont une solution : nous avons besoin d'écrire l'avenir ensemble. Pour Destin Commun, cette étude est un point de départ : elle est à la disposition de ceux qui cherchent à faire émerger une communauté de destin. Né en 2017, notre laboratoire d'idées et d'actions veut contribuer à bâtir une société plus soudée, dont les membres sont convaincus que ce qui les rassemble est plus fort que ce qui les divise. Notre rapport confirme que nous vivons comme les branches d'une famille éloignée, avec des valeurs, des codes et des grilles de lecture parfois radicalement différents. Certes, les bulles dans lesquelles nous vivons ne sont pas étanches : il arrive que des fronts communs surgissent et que des coalitions de circonstance se nouent. Du mouvement des Gilets Jaunes aux marches pour le climat, des voix parfois très éloignées les unes des autres s'entendent et se font entendre ensemble. Mais nous avons des difficultés à prendre en compte des aspirations et des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Nous avons tendance à parler à la place des autres et à projeter sur eux nos propre
Veille & Documentation

Destin commun - Rapport complet - La France en quête : Réconcilier une nation... - 0 views

  •  
    La France n'a jamais semblé aussi divisée qu'aujourd'hui. Des plateaux de télévision aux réseaux sociaux, dans la rue et parfois même dans nos familles, les polémiques s'enchaînent et les désaccords politiques se transforment en détestations. Les Français déplorent que les moments d'unité du pays soient de plus en plus passagers. Sommes-nous devenus irréconciliables ? Experts, politiques, sont nombreux à le croire, mais pas nos concitoyens : ils ont conscience du danger que font courir ces divisions à l'avenir du pays. C'est le constat que nous tirons d'une grande enquête menée tout au long de l'année 2019 avec l'Institut de sondage Kantar, auprès de 6000 personnes. Plus de huit Français sur dix pensent qu'on doit se serrer les coudes et faire face aux problèmes ensemble. Ni l'entre-soi ni le chacun pour soi ne sont une solution : nous avons besoin d'écrire l'avenir ensemble. Pour Destin Commun, cette étude est un point de départ : elle est à la disposition de ceux qui cherchent à faire émerger une communauté de destin. Né en 2017, notre laboratoire d'idées et d'actions veut contribuer à bâtir une société plus soudée, dont les membres sont convaincus que ce qui les rassemble est plus fort que ce qui les divise. Notre rapport confirme que nous vivons comme les branches d'une famille éloignée, avec des valeurs, des codes et des grilles de lecture parfois radicalement différents. Certes, les bulles dans lesquelles nous vivons ne sont pas étanches : il arrive que des fronts communs surgissent et que des coalitions de circonstance se nouent. Du mouvement des Gilets Jaunes aux marches pour le climat, des voix parfois très éloignées les unes des autres s'entendent et se font entendre ensemble. Mais nous avons des difficultés à prendre en compte des aspirations et des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Nous avons tendance à parler à la place des autres et à projeter sur eux nos propre
Veille & Documentation

HCR - Voyages du désespoir : Réfugiés et migrants qui arrivent en Europe et a... - 0 views

  •  
    Les réfugiés et les migrants qui tentent de rejoindre l'Europe par la mer Méditerranée ont perdu la vie à un rythme alarmant en 2018, tandis qu'une réduction des opérations de recherche et de sauvetage continue de faire de cette traversée maritime la plus meurtrière au monde. Selon le tout dernier rapport « Voyages du désespoir », publié aujourd'hui par le HCR, l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés, six vies humaines ont été perdues, en moyenne, chaque jour. Quelque 2 275 personnes sont mortes ou disparues en traversant la Méditerranée en 2018, malgré une baisse importante du nombre d'arrivées sur les côtes européennes. Au total, 139 300 réfugiés et migrants sont arrivés en Europe, soit le nombre le plus faible en cinq ans. « Sauver des vies humaines en mer n'est ni un choix, ni une question de politique, mais bien une obligation séculaire », a estimé Filippo Grandi, le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés. « Nous pouvons mettre un terme à ces tragédies en ayant le courage et l'ambition de regarder au-delà du prochain bateau, en adoptant une approche à long terme fondée sur la coopération régionale et centrée sur la vie humaine et la dignité. » Le rapport décrit également la manière dont les changements intervenus dans la politique menée par certains États européens ont entraîné de nombreux incidents, au cours desquels un grand nombre de personnes ont été immobilisées en mer pendant plusieurs jours, dans l'attente d'une autorisation d'accoster. Les bateaux des ONG et leurs équipages ont été confrontés à des restrictions accrues dans le cadre de leurs opérations de recherche et de sauvetage. Sur les itinéraires reliant la Libye à l'Europe, une personne est décédée en mer sur 14 arrivants en Europe - soit une forte hausse par rapport au taux de l'année 2017. Des milliers d'autres ont été renvoyées en Libye, où elles vivent dans des conditions é
Veille & Documentation

Défenseurs des droits - Rapport d'observation : Démantèlement des campements ... - 0 views

  •  
    L'année 2016 a connu des opérations de démantèlement de campements de migrants d'une particulière envergure, à Calais et à Paris. Ces « points de fixation », qui semblent chaque fois se reformer aussi vite qu'ils ont été évacués, apparaissent comme le symptôme de l'échec de la politique européenne d'accueil des réfugiés. A l'automne 2016, le Défenseur des droits a fait usage des pouvoirs qui lui sont dévolus en mandatant sur place des agents chargés d'observer les conditions dans lesquelles se déroulaient les opérations d'évacuation à Calais et à Paris, puis la prise en charge des exilés, qu'il s'agisse des mineurs conduits dans des centres d'accueil et d'orientation des mineurs non accompagnés (CAOMI) ou des adultes dirigés vers des centres d'accueil et d'orientation (CAO). L'objectif du Défenseur des droits était de pouvoir rendre compte de la pertinence des moyens déployés par l'Etat pour garantir la conformité de ces opérations aux obligations de respect des droits fondamentaux qui lui incombent. Le premier constat du Défenseur des droits concerne le manque d'anticipation et d'informations données, dans la préparation des opérations de démantèlement et au cours de celles-ci, par les pouvoirs publics. Le Défenseur des droits déplore aussi les conditions dans lesquelles ont été effectuées les orientations des personnes en fonction d'une minorité ou d'une majorité d'apparence fondées uniquement sur des critères subjectifs. En deuxième lieu, en ce qui concerne la prise en charge des mineurs non accompagnés après l'évacuation de la Lande de Calais, de nombreuses vérifications au sein des CAOMI ont été effectuées par les agents et délégués du Défenseur des droits. Il ressort de leurs constatations qu'il existe une grande hétérogénéité dans les prises en charge de ces mineurs, des équipes recrutées, des relations avec les départements et des informations transmises aux jeunes dans le cadre de leu
Veille & Documentation

IFOP - Les priorités des Français et la question de l'immigration - 0 views

  •  
    Les attentats ont donc eu un effet très marqué sur certaines préoccupations des Français. Si le chômage demeure la priorité des Français (73%, +3 points depuis août dernier), de nombreux thèmes liés aux événements de janvier et au débat qui s'en est suivi ont gagné en importance aux yeux des Français : l'éducation (59%, +10), la lutte contre la délinquance (58%, +5) et l'immigration clandestine (49%, +5) ainsi que l'amélioration de la situation dans les banlieues (36%, +8). Néanmoins, la hiérarchisation des préoccupations n'est pas la même selon les sensibilités politiques. Pour les sympathisants de gauche, le chômage, l'éducation et la santé demeurent prioritaires. Chez les sympathisants UMP, le chômage occupe la même place, mais en deuxième position vient la délinquance, et en troisième l'immigration clandestine. Au Front national, l'immigration clandestine occupe le haut du tableau à 83%, suivie par le chômage (14 points derrière), puis la lutte contre la délinquance. Concernant l'immigration clandestine, aucun bouleversement majeur ne s'est produit dans l'état de l'opinion depuis octobre 2013, ce qui vient contredire les craintes d'une montée de l'islamophobie en France à la suite des attentats. Ainsi, 8 Français sur 10 considèrent qu'il faut passer d'une immigration subie à une immigration choisie (81%, -5 points), 68% pensent qu'on en fait plus pour les immigrés que pour les Français (+1), 40% que l'immigration est une chance pour la France (+3) et 24% que les pouvoirs publics luttent efficacement contre l'immigration clandestine (stable). Enfin, sur les causes des épisodes de violence dans les banlieues, la perception des Français reste stable : la présence de bandes organisées et le trafic de drogue (40%), la démission des parents (35%), la présence d'un nombre important d'immigrés dans le quartier (29%)… Sur le temps long, l'idée que des territoires seraient à la dérive à caus
Veille & Documentation

Assemblée nationale - Rapport d'information sur la mise en oeuvre des conclus... - 0 views

  •  
    Jeanine Dubié, députée (Parti radical) des Hautes-Pyrénées, et Arnaud Richard, député (UDI) des Yvelines, ont déposé devant le Comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques (CEC) leur rapport d'information sur la mise en œuvre des conclusions de leur propre rapport d'information du 10 avril 2014 sur l'évaluation de la politique d'accueil( des demandeurs d'asile (voir notre article ci-contre du 16 avril 2014). Une amélioration et une simplification de la demande d'asile L'exercice est un peu particulier, puisque la quasi-totalité du rapport de 2014 était consacrée à la réforme à venir de l'asile, qui s'est concrétisée par la loi du 29 juillet 2015 relative à la réforme du droit d'asile (voir notre article ci-contre du 17 juillet 2015). Sur cet aspect, les observations du rapport de l'époque n'ont donc plus d'intérêt autre qu'historique. En outre, est intervenue entretemps une crise de l'asile d'une ampleur encore inconnue dans l'histoire récente de l'Europe. La rapport de suivi prend donc le parti de se pencher sur l'impact de cette crise et de la loi de 2015, plutôt que sur les conditions de mise en œuvre du précédent rapport. Sur ce point, il commence par dresser le constat de l'impact de la crise migratoire. Avec des conclusions déjà bien connues : une hausse de la pression en 2016, une demande d'asile à la frontière en forte baisse et une demande d'asile outre-mer "préoccupante". Il confirme également le caractère limité de la réinstallation des réfugiés, qui ne devrait pas dépasser 10.000 personnes. Sur la mise en œuvre de la loi du 29 juillet 2015, les rapporteurs constatent la simplification et l'amélioration de la demande d'asile. Le demandeur est dorénavant reçu dans un lieu unique par un nombre réduit d'interlocuteurs. Le satisfecit vaut aussi bien pour les guichets uniques d'accueil - qui ont désormais obligation d'enregistrer la demande d'asile en trois jours -, que pour les plateformes
Veille & Documentation

Fondation Jean-Jaurès - Et si l'on donnait sa chance à cette jeunesse qui rêv... - 0 views

  •  
    "Est-il possible de développer une nouvelle approche des enjeux migratoires, fondée sur la réalité des parcours migratoires contemporains ? Étienne Longueville, bénévole dans un collectif de soutien aux réfugiés et migrants en Bretagne, fait des propositions à destination des pouvoirs publics pour des solutions humaines, justes et efficaces. Depuis près de trente ans, la doctrine Rocard dicte notre politique migratoire : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde[1]. » Fin du débat[2]. Répété sans cesse, ce verdict traduit une paresse intellectuelle, comme si les logiciels de pensée étaient restés figés en 1990. Côté gouvernement, peut-on vouloir rendre la France attractive, lutter contre l'assignation, attirer les ambitieux et, dans le même temps, laisser aux portes de l'Europe des jeunes qui s'identifient à ce président français audacieux, qui brise les règles anciennes, au point de se désigner parfois entre eux comme « la génération Macron[3] » ? Côté opposition de gauche, peut-on vouloir régulariser les clandestins tout en étant opposé sur le principe à la liberté de circulation ? Peut-on se satisfaire du fait que le renouveau intellectuel sur les enjeux migratoires est porté par l'Église[4] plutôt que par les partis républicains ? Le projet de loi sur l'immigration prévue pour 2018 garde cette approche binaire consistant à distinguer « réfugiés » et « migrants économiques », en partant des raisons de la mise en mouvement plutôt que du désir d'intégration. Ainsi, le gouvernement veut doubler le temps de présence en centre de rétention, jusqu'à 90 jours, pour favoriser les départs[5]. Attention, spoiler : cela ne marchera pas, il en coûtera simplement plus cher au contribuable. La politique de répression migratoire constitue un puits sans fond, inefficace et inefficient. Elle encourage un système parallèle qui broie des hommes. Plus de 10 000 personnes sont mortes e
Veille & Documentation

Harris Interactive - Le regard des Français sur le droit de vote des résident... - 0 views

  •  
    "Que retenir de cette enquête ? - Une fois informés que les étrangers des pays de l'Union Européenne résidant en France ont le droit de vote aux élections municipales et européennes, 56% des Français se déclarent favorables à l'extension de ce droit aux étrangers non-membres de l'Union Européenne vivant dans le pays. - Ce chiffre reflète une nouvelle hausse (+2 points) par rapport à la dernière mesure réalisée en 2016, poursuivant la dynamique observée depuis 2015, sans pour autant retrouver le niveau historique atteint en 2011. Pour rappel, celui-ci était de 59% de Français favorables, soit la proportion la plus élevée recueillie depuis le début de ce baromètre en 1994. - Symétriquement, les Français sont également moins nombreux à être défavorables au droit de vote des étrangers (39%, -3 points par rapport à 2016). Les opinions semblent structurées, la part de personnes ne se prononçant pas est plutôt stable (5% en 2017, soit 1 point de plus qu'en 2016). - Dans le détail, le soutien à l'extension du droit de vote des résidents étrangers aux élections locales progresse parmi presque toutes les catégories de population et tout particulièrement parmi les jeunes - qui s'y montraient déjà plus favorables que la moyenne en 2016 (73%, +9 points) - mais aussi parmi les personnes âgées - qui expriment un regard plus mitigé (49%, +8 points)."
Veille & Documentation

IFOP - Les Français et l'accueil des chrétiens d'Orient - 0 views

  •  
    Une très large majorité de Français est favorable à l'accueil des réfugiés chrétiens en provenance d'Irak et de Syrie (62%). D'après les dernières enquêtes dont on dispose quand on ne spécifie pas qu'il s'agit de chrétiens d'Orient, la propension à l'accueil à l'accueil de migrants tombe à 46% des répondants, ce qui représente un différentiel de 16 points (sondage Ifop en date des 22 et 26 avril 2016). On observe à la fois un clivage générationnel et politique sur cette question de l'accueil des migrants chrétiens d'Orient. Les personnes âgées (65 ans et plus) sont plus des trois-quarts (78%) à être favorables à leur accueil contre 58% des moins de 35 ans et 52% des 35-49 ans. Du point de vue de la proximité politique, les sympathisants du Parti Socialiste sont 86% à être favorables à l'accueil des migrants chrétiens sur notre sol contre moins d'un quart des partisans du Front National (23%). Les sympathisants Les Républicains y sont favorables à 63% et les partisans du Front de Gauche à 78%. Les personnes ayant une religion sont en moyenne plus favorables à l'accueil des migrants chrétiens. Cependant, le type de religion ne semble pas avoir un grand impact sur les réponses puisque les catholiques pratiquants sont favorables à l'accueil de migrants chrétiens à hauteur de 67%, ce qui représente seulement un point de plus que les personnes catholiques non pratiquantes (66%). Les personnes se réclamant d'une autre religion que le catholicisme sont plus favorables que la moyenne à l'accueil des migrants chrétiens (73% contre 62% en moyenne). Enfin, les personnes se disant « sans religion » sont 57% à y être favorables.
Veille & Documentation

Assemblée nationale - Commission des lois - Rapport d'information sur l'appli... - 0 views

  •  
    La mission d'information sur l'application de la loi n° 2016-274 du 7 mars 2016 relative au droit des étrangers en France a été créée par la commission des Lois de l'Assemblée nationale le 13 septembre 2017. Elle avait pour objet, un an après l'entrée en vigueur de la loi, de dresser un premier bilan de l'application de ce texte qui a modifié sur plusieurs points, de façon significative, la législation relative à l'entrée et au séjour des ressortissants étrangers sur le territoire français. Ce texte a ainsi généralisé, à l'issue d'une première année de séjour régulier sur le territoire, des titres de séjour pluriannuels ayant une durée comprise entre deux et quatre ans. Il a créé un nouveau titre de séjour, le « passeport talent », avec pour ambition de renforcer l'attractivité de la France auprès des ressortissants étrangers particulièrement qualifiés à un titre ou à un autre. Il a aussi réformé le régime contentieux de la rétention administrative en transférant le contrôle de la légalité de la décision administrative de placement en rétention du tribunal administratif au juge des libertés et de la détention (JLD) et en prévoyant l'intervention de celui-ci aux fins de prolongation de la rétention à l'issue d'un délai de 48 heures, au lieu de cinq jours auparavant. Au-delà du bilan à tirer de l'application de la loi, la mission d'information entendait plus largement dresser un état des lieux concernant le droit des étrangers en France. Compte tenu de l'ampleur du sujet, il n'était pas question pour vos Rapporteurs de prétendre à l'exhaustivité. Ils ont donc décidé de concentrer leurs analyses sur un certain nombre de points majeurs du droit de l'immigration tels que les procédures contentieuses, l'éloignement des étrangers en situation irrégulière, le sort des mineurs étrangers isolés ou encore le séjour des étrangers malades. Ils n'ont en revanche pas f
Veille & Documentation

OCDE - La Résilience des élèves issus de l'immigration : les facteurs qui dét... - 0 views

  •  
    Les flux migratoires ont profondément transformé la composition des classes. Les résultats du Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves (PISA) de l'OCDE révèlent qu'en 2015, au moins un élève de 15 ans sur quatre dans les pays de l'OCDE est né à l'étranger ou possède au moins un parent né à l'étranger. Entre 2003 et 2015, la proportion des élèves qui avaient émigré ou dont l'un des parents avait émigré à l'international a augmenté en moyenne de six points de pourcentage dans les pays de l'OCDE. La résilience des élèves issus de l'immigration : Les facteurs qui déterminent le bien-être explore les difficultés rencontrées par les élèves issus de l'immigration et le soutien qu'ils reçoivent quand ils en ont besoin. Le rapport fournit une analyse détaillée des risques et des facteurs de protection qui peuvent ébranler ou promouvoir la résilience des enfants issus de l'immigration. Il explore le rôle que les systèmes éducatifs, les écoles et les enseignants peuvent jouer pour aider ces élèves à s'intégrer dans leurs communautés, combattre l'adversité et construire leur résilience scolaire, sociale, émotionnelle et en termes de motivation.
Veille & Documentation

Harris Interactive France | News - 0 views

  •  
    "Depuis plus de vingt ans, La Lettre de la Citoyenneté publie une enquête barométrique pour suivre dans le temps le regard des Français concernant le droit de vote des étrangers résidant en France pour les élections locales et européennes. Dans son état actuel, la loi ouvre aux ressortissants de l'Union Européenne le droit de vote aux élections municipales et européennes se déroulant en France, mais cela ne concerne pas les résidents étrangers issus de pays n'appartenant pas à l'Union Européenne. La vague 2013 du baromètre avait été réalisée quelques heures après l'annonce par François Hollande de l'extension du droit de vote aux élections municipales et européennes à tous les étrangers résidant en France après les élections municipales de 2014, conformément à l'engagement pris par le candidat du Parti socialiste pendant la campagne de l'élection présidentielle de 2012. À l'inverse, ce sujet était moins présent dans l'agenda politique lors de réalisation de l'édition 2014 de l'enquête. En 2015, si ce sujet n'est plus évoqué directement par l'exécutif, les déplacements de populations vers l'Europe ont remis la question de la place de « l'étranger » en France au centre du débat public. Que retenir de cette enquête ? Une fois informé que les étrangers des pays de l'Union Européenne résidant en France ont le droit de vote aux élections municipales et européennes, un Français sur deux (50%) se déclare favorable à l'extension de ce droit aux étrangers non-membres de l'Union Européenne vivant dans le pays. Ce chiffre correspond à une hausse (+3 points) par rapport à la dernière mesure réalisée en 2014, elle-même en recul de 12 points par rapport au 59% de Français favorables en 2011 (soit la proportion la plus élevée recueillie depuis le début de ce baromètre en 1994). "
Veille & Documentation

The Conversation - Fact check : « Les réfugiés sont-ils mieux accompagnés que... - 1 views

  •  
    "Un « migrant fraîchement débarqué » a-t-il le droit à des soins « totalement gratuits lorsque nos compatriotes dans la difficulté sont sans emploi, sans toit, ou renoncent à des soins par manque de moyens ? » Cette citation est extraite d'un discours de Marine Le Pen, lors d'un déplacement à Caudry dans le nord de la France le 24 février 2019. De nombreux journaux ont dénoncé la désinformation véhiculée par la présidente du Rassemblement national. Néanmoins, en septembre, les premières réponses du gouvernement dans le débat sur l'immigration ont porté sur la lutte contre le « tourisme médical » en pointant des dysfonctionnements dans le dispositif de l'Aide médicale d'état (AME) et sur la régulation de l'immigration professionnelle. Les partisans d'une restriction de l'immigration dénoncent l'AME comme un détournement de la générosité française par des migrants venus en France essentiellement dans le but de profiter de la protection sociale. Or, plusieurs rapports, dont celui tout récent rendu en octobre 2019 par l'Inspection générale des finances et l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS-IGF), nuancent ces propos. Reprenons point par point les questions litigieuses."
Veille & Documentation

L'arme migratoire | L'Avant-Garde - 0 views

  •  
    "Ou comment se pose aujourd'hui la question des migrants ? Puisque négociation il y a eu entre l'Union européenne et la Turquie pour contingenter le flux de migrants, et que le gouvernement turc a cette capacité d'amplifier ou de réduire ces mouvements de populations, il faut en conclure que les mouvements migratoires actuels sont le fait d'une volonté politique. Ce dont en son temps le colonel Kadhafi menaçait l'Europe, le président Erdoğan le met en œuvre, ou non. Les déplacés affluent en foule et pour la plupart contre leur gré, chassés qui par la guerre, qui par la persécution, qui par la pauvreté. Mais ce transit de masse n'est pas le fruit inopiné de circonstances malheureuses. Pour partie au moins, il est organisé et a un but. Tout d'abord, il ne s'agit pas que de la Syrie et de l'Érythrée. Tout l'arc qui va du Pakistan au Mali contribue au flux humain ainsi drainé vers l'Europe. Une véritable logistique conduit ce vaste mouvement, mise en œuvre par des « passeurs » à qui est laissée pleine latitude d'action à travers l'ensemble du Proche Orient. La pluralité des points de passage (Maroc, Libye, Turquie) permet une bonne adaptation des filières aux aléas de la diplomatie. Il est temps de regarder ce phénomène avec un peu de recul, au-delà des milliers de drames humains qui le constituent. Pour les gouvernements qui provoquent ou organisent ces migrations, elles sont avant tout une nouvelle arme dans les relations internationales. Celle même que le colonel Kadhafi brandissait. Cette arme fonctionne contre l'Europe, car l'afflux rapide de migrants la met dans une aporie dont elle ne sait pas se sortir."
Veille & Documentation

IFOP - Les Français, le droit du sol et le regroupement familial - 0 views

  •  
    Le raidissement de l'opinion à l'égard des questions identitaires et d'immigration, porté par l'actualité de l'été, se confirme au sujet de l'acquisition de la nationalité et du regroupement familial. Une majorité de Français (59%) se déclare aujourd'hui favorable à la suppression de l'acquisition automatique de la nationalité française pour les enfants nés en France de parents étrangers (pour ceux qui peuvent justifier de leur résidence en France pendant une période continue ou discontinue d'au moins 5 ans, depuis l'âge de 11 ans) et à l'instauration du « droit du sang ». Cette tendance s'est accentuée depuis avril dernier. A l'époque, 62% des sympathisants de droite (eux seuls étaient alors interrogés) se déclaraient en effet en faveur de cette mesure : ils sont aujourd'hui 73%. Dans le détail, l'adhésion à la suppression de cette acquisition « automatique » de la nationalité française est fortement corrélée à la proximité politique : de seulement 22% d'adhésion parmi les proches du Front de Gauche, ce taux devient majoritaire dans les rangs du Parti socialiste (52%) et nettement dominant à droite, chez les sympathisants Les Républicains (73%) et frontistes (75%). Aujourd'hui, 60% des Français se déclarent par ailleurs favorables à la suppression du regroupement familial (qui existe depuis 1976). Là encore, on observe que ce score a évolué au cours des derniers mois : seulement +1 point chez l'ensemble des Français, mais +5 chez les sympathisants du Front de Gauche (30%), +10 chez les proches du Parti Socialiste (46%) et +4 chez ceux des Républicains (77%). Chez les partisans du Front National, le taux d'adhésion à la suppression du regroupement familial mesuré en avril dernier était déjà très élevé (92%) et s'établit aujourd'hui à 89%
Veille & Documentation

Angleterre : la peine d'un violeur dépend de l'origine de sa victime | Causeur - 0 views

  •  
    "Dans une décision sans précédent, la Cour criminelle de Londres a reconnu une nouvelle catégorie de préjudice : la perte de valeur sur le marché matrimonial. Les juges de la Couronne ont admis que deux très jeunes filles, victimes de viol, ont perdu de ce fait la perspective d'un bon mariage, ce qui constitue une circonstance aggravante… Les faits remontent à quelques années. Jamal Muhammed Raheem Ul Nasir, 31 ans, originaire du West Yorkshire, a été condamné fin 2014 par la Cour criminelle de Leeds à quatre et trois ans de prison ferme pour deux viols sur mineures de 9 et 14 ans. A peine revenu de la surprise d'un jugement aussi clément - quatre et trois ans pour viols et agressions sexuelles contre deux gamines !- on apprend avec stupeur que cette peine a été alourdie par une circonstance aggravante : les victimes étaient Asiatiques et leurs pères craignaient de ne plus pouvoir les marier correctement au sein de leur communauté. L'avocat de la défense a interjeté appel contre cette décision, mais la cour criminelle de Londres est venue confirmer hier la décision de première instance, invoquant une « honte particulière dans la communauté asiatique ». Du point de vue du Droit, cela veut dire que violer une gamine appartenant à une communauté dont la virginité de la mariée est une condition sine qua non d'un mariage « coûte » plus cher que de violer une jeune fille lambda. On croit rêver. Il est vrai qu'en France, il existe une aggravation de la peine pénale due au constat de l'intention raciste du crime. Mais ce n'est pas le cas en l'espèce. Le viol n'a pas été commis contre ces deux jeunes filles parce qu'elles étaient asiatiques. Malgré cela, la réparation pénale est plus importante. Alexandre Cuignache, avocat au barreau de Paris nous rassure : « En France, il est possible d'imaginer en droit civil des circonstances aggravantes du fait de la souffrance morale particulière de la communa
Veille & Documentation

Paris - Homélie de Mgr Laurent Ulrich - Messe à St-Germain-l'Auxerrois à l'oc... - 0 views

  •  
    "D'après transcription Le moins que l'on puisse dire c'est que le prophète Amos ne mâche pas ses mots : « la bande de vautrés » dit-il. Il pointe les responsables du peuple, les chefs du peuple du Royaume du nord d'Israël du VIIIe siècle avant Jésus. A la vérité, nous n'avons pas besoin de nous trouver à Samarie au VIIIe siècle avant Jésus pour imaginer ce que sont ces « vautrés » dont parle le prophète. Il n'est pas compliqué de savoir qu'à toutes les époques de l'histoire, dans tous les peuples et à tous les moments, il a été possible à des responsables de peuples, à des responsables d'états, des responsables de sociétés, de tout simplement jouir des bienfaits de l'existence, du confort qu'ils éprouvaient de la richesse - soit insensée soit plus ordinaire -, mais simplement de ce confort qui fait que l'on oublie tout à fait les réalités de la vie quotidienne, on oublie les combats difficiles de ceux qui affrontent les précarités diverses, et on oublie aussi que l'affaiblissement moral d'un peuple peut conduire à ce que ses voisins veuillent, ou puissent penser qu'ils vont envahir, dominer ce peuple-là et le réduire en esclavage, ce qui est arrivé mille fois dans l'histoire du monde."
Veille & Documentation

IFOP - Les Français et l'accueil des migrants - 0 views

  •  
    Avec ventilation par religion "Une semaine après l'évacuation de la « jungle » de Calais et la répartition des migrants dans des centres d'accueil et d'orientation (CAO), Atlantico a souhaité connaître le sentiment des Français à l'égard de l'accueil des migrants dans les différents pays d'Europe et en France. Le nombre de personnes défavorables à l'accueil des migrants est en baisse sensible par rapport à septembre 2016. La proportion de personnes opposée à cette idée passant de 62% à 56% (-6 points) en novembre. Cette baisse notable par rapport à septembre est cependant à nuancer dans la mesure où les scores observés lors de la rentrée étaient eux-mêmes en forte hausse par rapport à la dernière mesure qui datait d'avril (+8 points en faveur des opposants à l'accueil). Dans le détail, les partisans du Front National sont les plus radicalement opposés à l'accueil des migrants dans notre pays : 94% y sont défavorables. Les sympathisants Les Républicains y sont également majoritairement opposés pour 63% d'entre eux. A contrario, à la gauche de l'échiquier politique, les partisans du Front de Gauche et du Parti Socialiste sont eux largement favorables à l'accueil des migrants en France (respectivement 68% et 70%). "
Veille & Documentation

IFOP - Les Français, les catholiques et l'accueil des migrants - 0 views

  •  
    Sondage 04.05.2016 Les Français, les catholiques et l'accueil des migrants L'Ifop pour La Vie a interrogé les Français sur la question de l'accueil des migrants. En voici les principaux enseignements: Les Français sont majoritairement opposés (54%) à ce que les migrants soient répartis dans les différents pays d'Europe et à ce que la France en accueille une partie. Ce chiffre est en recul de 5 points par rapport au mois de mars 2016 et en recul de 8 points par rapport à novembre 2015. Les personnes se disant catholiques pratiquantes sont, a contrario, majoritairement favorables (54%) à l'accueil des migrants en Europe et en France. Ce chiffre est en forte hausse de 16 points par rapport au moins de mars 2016 (passant de 38% d'opinions favorables à 54%).
1 - 20 of 368 Next › Last »
Showing 20 items per page